Internet, par beaucoup, est considéré comme une terre de non-droit. La situation a changé, mais même ainsi, il n'est pas rare de tomber sur des commentaires de personnes qui ne montrent même pas leur visage, et nombre de ces messages sont offensants.
En Espagne, la pratique est largement adoptée, même avec une surveillance accrue et des sanctions possibles, de nombreux utilisateurs insistent encore pour rester obscurs sur Internet, sans révéler leur identité. Parmi les principales causes de punition figurent le racisme, l'intolérance raciale et même la xénophobie.
En Chine, cependant, les choses pourraient changer. Une nouvelle loi qui vient de faire ses débuts rend obligatoire l'utilisation d'identités réelles dans les commentaires sur les publications Web. La mesure entre en vigueur le 1er octobre et oblige les entreprises technologiques à demander des informations à toutes les personnes qui commentent les publications, quelle que soit la plateforme.
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L'idée est née d'empêcher la diffusion de fausses nouvelles, ainsi que l'utilisation d'un langage inapproprié et de comportements considérés comme illégaux. De nombreuses personnes jugent la médiation comme une énième méthode de censure créée par le gouvernement chinois, le tout pour réduire le droit à "l'opinion".
Il convient de mentionner qu'en Chine, il est interdit aux utilisateurs d'accéder à plusieurs plateformes, dont Facebook et Google.
L'organisme de « censure » du pays a également ordonné aux opérateurs mobiles locaux de bloquer l'utilisation des VPN personnels jusqu'au 1er février 2018, ce qui restreindra l'accès non autorisé des Chinois à divers services et plates-formes.
